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ACTUALITÉ 05/02/2018

Veltec NV est prête pour le futur – advertorial

« Nos collaborateurs sont notre force. Ils travaillent en hauteur et sous de sévères conditions météo », déclare le chef d’entreprise Dirk Boeykens de Veltec, qui entreprend des travaux d’envergure. « Du respect ! »

« Notre société repose sur quatre piliers majeurs » souligne Boeykens. Le plus important est l’usinage sur site (OSM), dont le tournage, le fraisage, le brochage, le rectifiage... Par exemple, Veltec fraise chez le client avec un tour mobile fabriqué sur mesure (10 tonnes) une grande série de flasques de 6 m de diamètre avec une tolérance de planéité de 0,25 mm. La même chose était précédemment faite avec 200 flasques similaires pour le parc éolien Thornton. Une fraise mobile (20 tonnes) de 16 m permettait d’usiner sur la même longueur d’un seul jet. Les appels d’urgence constituent 80% de ces tâches.

« Le deuxième pilier est le “torque and tensioning”. » En faisant usage d’outils hydrauliques calibrés, des jeux de brides sont contrôlés par rapport aux valeurs calculées et serrés jusqu’à l’étanchéité. Ce département qui démarrait il y a deux ans, croît exponentiellement.

« L’étanchéisation forme le troisième pilier. » Les brides non étanches et/ou des canalisations ou vannes percées sont étanchéisées en les enfermant dans un caisson robuste et ensuite en injectant de la pâte.

« Le quatrième pilier est l’électroérosion. » Une électrode en carbone forme un arc électrique avec par exemple le boulon cassé. Des particules microscopiques sont fondues et éliminées par un jet d’eau coulant via l’électrode. L’électrode se fraye ainsi un chemin au travers du boulon. L’usinage par électroérosion est trois fois plus rapide que le forage conventionnel.

Tous secteurs

En Belgique, les activités de Veltec sont e. a. concentrées dans la région portuaire anversoise. Et aussi en outre en Allemagne, Italie, Pays-Bas, Turquie, Indonésie, Suède, Danemark, Angleterre, Pologne, Singapour... dans la chimie, la pétrochimie, le maritime, l’alimentaire, etc. …

« Le parc mobile de Veltec vaut 2 millions d’euros. Nous disposons de trois à quatre exemplaires de chaque type de machine, du plus petit au plus grand modèle, nous permettant d’être réactifs. Nous investissons annuellement en moyenne 300 000 euro dans la rénovation de notre parc mobile. »

« En 2016, nous lancions “Clock Spring” pour compléter le département d’étanchéisations. Si une conduite amincie présente un réel risque de fissuration, elle est enveloppée jusqu’à l’épaisseur/ténacité originelle. » Les brides pour éoliennes évolueront de 6 à 10 m de diamètre : « nous construisons déjà actuellement pour cette raison une machine qui répond à cette nouvelle demande. »

2018 s’annonce prometteuse

« 2017 était une bonne année et 2018 le semble encore plus », stipule Boeykens, ingénieur industriel électromécanicien et ingénieur européen et international (IWE/EWE) en soudage. Après avoir travaillé une décennie en tant qu’ingénieur projet, il devenait en 2018 directeur chez KSB On-site-Machining, reprise en 2012 par Voith. Voith revendait à son tour l’entreprise à Triton, un fond de capital investissement germano-scandinave, et le nom de l’entreprise était modifié en Veltec. Elle compte actuellement 45 collaborateurs dont deux conseillers en prévention. <<

Par Wouter Peeters

www.veltec-services.com


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